"Quand on nait trop terre à terre, ne risque-t-on pas se planter ?"
Cette question nous la posâmes à Herberthe Von Klasflair de l'université de Shortland -Allabanane- lors qu'un colloque sur la disparition des noix de cajou des régions septentrionales du sud-sud.
Au cours des réunions en sous-commissions traitant plus spécifiquement des plantations purement potagères de certaines variétés sub-aquatiques, la réponse à notre interrogation appela une autre interrogation que nous tûmes. En effet, le flot d'informations dispensées ne permit pas notre intervention et nous partîmes déçus. Ce fût un symposium dense et peu instructif puisque nous ne pûmes obtenir réponse à quoi ce soit.
Nous contactâmes le responsable du congrès et lui fîmes part de nos revendications légitimes auxquelles il opposa un argumentaire non recevable.
C'est donc fort marris par tant de déception que nous quittâmes l'amphithéâtre en claquant la porte et le directeur.
Extrait d'un courrier de notre élève à l'école de journalisme et en stage à La Provenchiale
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