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Etre pûmes


"Quand on nait trop terre à terre, ne risque-t-on pas se planter ?"
Cette question nous la posâmes à Herberthe Von Klasflair de l'université de Shortland -Allabanane- lors qu'un colloque sur la disparition des noix de cajou des régions septentrionales du sud-sud.
Au cours des réunions en sous-commissions traitant plus spécifiquement des plantations purement potagères de certaines variétés sub-aquatiques, la réponse à notre interrogation appela une autre interrogation que nous tûmes. En effet, le flot d'informations dispensées ne permit pas notre intervention et nous partîmes déçus. Ce fût un symposium dense et peu instructif puisque nous ne pûmes obtenir réponse à quoi ce soit.
Nous contactâmes le responsable du congrès et lui fîmes part de nos revendications légitimes auxquelles il opposa un argumentaire non recevable.
C'est donc fort marris par tant de déception que nous quittâmes l'amphithéâtre en claquant la porte et le directeur.

Extrait d'un courrier de notre élève à l'école de journalisme et en stage à La Provenchiale

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Incroyable ! Après 55 jours enfermés entre 4 murs -quoique pour ma part j'en ai 42 mais là n'est pas le propos- nous voilà tous enfin libérés ! Une pluie torrentielle s'abat sur le pays depuis hier et aujourd'hui on atteint le degrés ultime du taux hygrométrique que le robinet peut supporter, donc autant dire qu'on va tous rester chez nous....sauf motif impérieux ! Avec nos 12 kilos de riz encore en stock et nos 16 kilos de patates, on devrait être en mesure de tenir encore une journée supplémentaire avant d'aller se jeter dans une grande surface pour afficher, non plus notre ausweiss, mais plutôt notre masque. Aujourd'hui même avec la pluie c'est jour de fête et j'ai pas envie de masquer ma joie ! La Provench' en direct de son parapluie